La mère de Ronaldo livre sa vérité sur son fils : « Sa dépendance, c’est… »

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Cristiano Ronaldo a quitté l’Euro 2024 la tête basse, éliminé avec le Portugal face à la France (0-0, tab 3-5) en quarts de finale. Malgré un parcours décevant, marqué par des prestations en demi-teinte, la star portugaise a nouvelle fois écrit l’histoire en disputant son sixième championnat d’Europe des nations. Un exploit rendu possible par son hygiène de vie irréprochable.

Régime alimentaire strict, entraînements intensifs, récupération optimale… Ronaldo ne laisse rien au hasard pour repousser les limites du temps. Une discipline de fer qui trouve sa source dans un drame familial : la perte de son père, José Dinis Aveiro, décédé en 2005 d’une tumeur au foie liée à l’alcool. Dans un entretien accordé au Times en 2015, Ronaldo s’était d’ailleurs confié sur sa relation avec son père, qu’il avait tenté d’aider en vain. « Il était ivre presque tous les jours, a-t-il déclaré. Je ne l’ai jamais vraiment connu. Nous n’avons jamais eu de conversation sérieuse. »

« C’est l’une des raisons pour lesquelles il est devenu ce qu’il est aujourd’hui »

Soucieux de ne pas reproduire les erreurs de son père, le quintuple Ballon d’Or s’est toujours montré inflexible sur sa santé. Un choix de vie renforcé par son expérience avec son frère Hugo Aveiro, qui a lui aussi été confronté à des problèmes d’alcoolisme. « Cristiano avait 16 ans à l’époque, a raconté sa mère Maria Dolores Dos Santos Aveiro au Daily Record. Il gagnait davantage et payait les soins de son frère. Les choses auraient pu être complètement différentes si Cristiano n’avait pas été footballeur. Son frère se porte bien aujourd’hui. »

« Cristiano a vu ce que l’alcool et les drogues peuvent faire aux gens autour de lui, poursuit-elle. C’est l’une des raisons pour lesquelles il est devenu ce qu’il est aujourd’hui, pours. Ce qui est arrivé à notre famille explique pourquoi Cristiano n’a aucun vice. Il ne fume pas et ne boit pas. Sa dépendance, c’est le football. »